18 mars 2023
Je quitte Phuket ce matin. Soucieux et conscients de l'impact de la pollution surtout lorsque l'on est sur une île, il y a beaucoup d'interdictions. Les hôtels utilisent des bouteilles de verre pour l'eau offertes aux clients et recyclent.
L'île de Samui est la deuxième en superficie, mais cela reste une île.
Il n'y a pas de gros porteur qui s'y rendent. Je ferai donc le trajet de 45 minutes sur un bimoteurs ATR 72-600.
Au décollage pas si mal, un peu balloté, c'est quand même pas une gros porteur.
À l'atterrissage comme on dirait en Québécois on a atterrit juste sur une gosse. On a du mettre une main sur le siège en avant pur ne pas se cogner la tête.
Les freins au maximum à deux reprises, la piste est courte, sinon on risquait d'égratigner la peinture du nez de l'avion. On a arrêter près du mur.
Le mur est pas loin. Ils ont examiné les pneus.
Mais ces pilotes là, c'est comme des pilote de brousses, ils font plus de décollages et d'atterrissages en un an que des pilotes de lignes font durant toute leur carrière.
Des minibus électriques nous amènent (environ 80passagers) à l'aéroport.
Le mini carroussel pour le bagages, très pittoresque, dix minutes et on avait tous nos bagages.
J'ai eu droit à une gentille chauffeur de taxi pour m'amener à l'hôtel.
Que dire de l'île de Samui, Wow! Wow! et Wow!
Ce n'est pas la folie des touristes de Bangkok ou Phuket, c'est très calme, je loge dans un complexe de petits bungalows, au bout du chemin après les piscines(3) et le restaurant, c'est la mer. Très calme, beaucoup d'oiseaux, très différent.
Je me suis commandé une bouteille de vin blanc.
Un bon smoothie à la mangue fraîche.
Une entrée suivi de queues de homard farcies et gratinées.
Repas environ 35$ canadiens.
Retour à mon bungalow pour la nuit.
L'île de Samui
Les photos et vidéos de la journée
L'île de Samui est la deuxième en superficie, mais cela reste une île.Il n'y a pas de gros porteur qui s'y rendent. Je ferai donc le trajet de 45 minutes sur un bimoteurs ATR 72-600.
Au décollage pas si mal, un peu balloté, c'est quand même pas une gros porteur.
À l'atterrissage comme on dirait en Québécois on a atterrit juste sur une gosse. On a du mettre une main sur le siège en avant pur ne pas se cogner la tête.
Les freins au maximum à deux reprises, la piste est courte, sinon on risquait d'égratigner la peinture du nez de l'avion. On a arrêter près du mur.
Le mur est pas loin. Ils ont examiné les pneus.
Mais ces pilotes là, c'est comme des pilote de brousses, ils font plus de décollages et d'atterrissages en un an que des pilotes de lignes font durant toute leur carrière.Des minibus électriques nous amènent (environ 80passagers) à l'aéroport.
Le mini carroussel pour le bagages, très pittoresque, dix minutes et on avait tous nos bagages.J'ai eu droit à une gentille chauffeur de taxi pour m'amener à l'hôtel.Que dire de l'île de Samui, Wow! Wow! et Wow!Ce n'est pas la folie des touristes de Bangkok ou Phuket, c'est très calme, je loge dans un complexe de petits bungalows, au bout du chemin après les piscines(3) et le restaurant, c'est la mer. Très calme, beaucoup d'oiseaux, très différent.
Je me suis commandé une bouteille de vin blanc.Un bon smoothie à la mangue fraîche.Une entrée suivi de queues de homard farcies et gratinées.Repas environ 35$ canadiens.
Retour à mon bungalow pour la nuit.
L'île de SamuiLes photos et vidéos de la journée